Beit Yedidim – un centre d’accueil pour les enfants à risque et en détresse
Beit Yedidim cherche à améliorer la vie des enfants et des jeunes à risque et en détresse. Nous croyons que chaque enfant, peut importe son origine, a le droit fondamental de vivre dans un environnement sûr, sain et stimulant. Ce projet offre aux enfants et aux jeunes à risque des activités spécialement conçues pour les empêcher de se retrouver dans la rue et pour qu’ils puissent bénéficier du soutien d’adultes attentifs.
Des coordinateurs et des étudiants universitaires bénévoles sont disponibles dans chaque maison pour « tenir compagnie » aux jeunes qui viennent y trouver refuge et, parmi d’autres formes d’assistance, les aider dans leurs devoirs ou dans toute autre matière pour laquelle ils éprouvent des difficultés. Un des éléments essentiels dans la « maison » sera l’aile qui comprendra des postes de travail permettant aux enfants de préparer leurs devoirs de façon tranquille et organisée. Le cas échéant et lorsque cela est possible, les jeunes sont jumelés à un mentor qui leur accorde une attention individualisée. La maison permettra également aux jeunes de participer à des activités normatives telles que sports collectifs, arts, ateliers de danse, théâtre, etc.
La maison est ouverte tous les jours de 15 h à 20 h 30 et reçoit 150 enfants et adolescents.
Des coordinateurs et des étudiants universitaires bénévoles sont disponibles dans chaque maison pour « tenir compagnie » aux jeunes qui viennent y trouver refuge et, parmi d’autres formes d’assistance, les aider dans leurs devoirs ou dans toute autre matière pour laquelle ils éprouvent des difficultés. Un des éléments essentiels dans la « maison » sera l’aile qui comprendra des postes de travail permettant aux enfants de préparer leurs devoirs de façon tranquille et organisée. Le cas échéant et lorsque cela est possible, les jeunes sont jumelés à un mentor qui leur accorde une attention individualisée. La maison permettra également aux jeunes de participer à des activités normatives telles que sports collectifs, arts, ateliers de danse, théâtre, etc.
La maison est ouverte tous les jours de 15 h à 20 h 30 et reçoit 150 enfants et adolescents.
Mike Burstyn aide des enfants défavorisés à garder leur « maison » ouverte.
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Les enfants de Beit Yedidim reproduisent une chanson que Burstyn a chantée il y a 30 ans.
Mike Burstyn, acteur et artiste américain et israélien de renommée internationale s’est engagé à aider un centre d’accueil pour les enfants à risque en Israël à poursuivre ses activités en dépit de difficultés financières.
« Je suis venu visiter Beit Yedidim. Après avoir vu les enfants et entendu leurs histoires, j’ai été ému et inspiré et j’ai compris qu’il fallait que je fasse quelque chose pour leur prêter main-forte ! J’ai décidé de les aider à transmettre leur message. Une jeune fille m’a dit : « Mike, je sais que les gens autour du monde vous aiment et vous écoutent, aidez-nous à nous faire entendre. Nous venons ici chaque jour. Où irons-nous s’ils ferment cet endroit? C’est comme notre maison… ». J’ai su ce que j’allais faire. J’allais leur permettre de pouvoir s’exprimer à travers la chanson. Nous avons décidé de chanter « sviv kol haolam », la belle histoire d’amour unissant tous les enfants du monde que je chantais il y a 30 ans et qui a presque été choisie pour participer à l’Eurovision. C’était une chanson parfaite pour eux puisque ces enfants ont littéralement immigré de tous les coins du monde. Nous les avons emmenés dans un studio professionnel de Tel-Aviv. C’était une expérience humaine extraordinaire. Les enfants étaient tellement excités. Tout ce dont ils avaient besoin était que quelqu’un croie en eux, qu’il leur montre qu’ils sont capables et que leur avenir pouvait être différent. C’était pour certains enfants la première fois qu’ils montaient dans un autobus, pour d’autres, leur première fois à Tel-Aviv. Tout le monde était ému aux larmes. Voir la joie sur leurs visages, voir comment ils étaient fiers d’eux-mêmes, voir l’espoir dans leurs yeux… C’était une expérience vraiment inoubliable qui nous a permis de réaliser que ces enfants avaient beaucoup de potentiel… Nous devons seulement leur donner une chance. C’est ce que ce projet signifie pour moi. »
Mike Burstyn, acteur et artiste américain et israélien de renommée internationale s’est engagé à aider un centre d’accueil pour les enfants à risque en Israël à poursuivre ses activités en dépit de difficultés financières.
« Je suis venu visiter Beit Yedidim. Après avoir vu les enfants et entendu leurs histoires, j’ai été ému et inspiré et j’ai compris qu’il fallait que je fasse quelque chose pour leur prêter main-forte ! J’ai décidé de les aider à transmettre leur message. Une jeune fille m’a dit : « Mike, je sais que les gens autour du monde vous aiment et vous écoutent, aidez-nous à nous faire entendre. Nous venons ici chaque jour. Où irons-nous s’ils ferment cet endroit? C’est comme notre maison… ». J’ai su ce que j’allais faire. J’allais leur permettre de pouvoir s’exprimer à travers la chanson. Nous avons décidé de chanter « sviv kol haolam », la belle histoire d’amour unissant tous les enfants du monde que je chantais il y a 30 ans et qui a presque été choisie pour participer à l’Eurovision. C’était une chanson parfaite pour eux puisque ces enfants ont littéralement immigré de tous les coins du monde. Nous les avons emmenés dans un studio professionnel de Tel-Aviv. C’était une expérience humaine extraordinaire. Les enfants étaient tellement excités. Tout ce dont ils avaient besoin était que quelqu’un croie en eux, qu’il leur montre qu’ils sont capables et que leur avenir pouvait être différent. C’était pour certains enfants la première fois qu’ils montaient dans un autobus, pour d’autres, leur première fois à Tel-Aviv. Tout le monde était ému aux larmes. Voir la joie sur leurs visages, voir comment ils étaient fiers d’eux-mêmes, voir l’espoir dans leurs yeux… C’était une expérience vraiment inoubliable qui nous a permis de réaliser que ces enfants avaient beaucoup de potentiel… Nous devons seulement leur donner une chance. C’est ce que ce projet signifie pour moi. »
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